Funny-Feelings

Ils pèteront à leur hauteur. [Mot de passe invité: Kudos]

Jeudi 15 novembre 2007 à 19:54

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La première fois, j'ai regretté.

Mais cette fois, je l'ai savouré.
Merci Marion <3

Dimanche 14 octobre 2007 à 23:59


On aurait pu croire que ça s'arrangerait.
On aurait pu penser que c'est terminé.
On souhaitait imaginer tout recommencer.
On voulait tout oublier.
On rêvait du passé.

Mais on ne vit que dans l'présent [non sans déconner...] et l'passé il s'efface rapidement.

- Oh tiens hier, blabla bla
- Tu sais quoi? On est aujourd'hui alors m'saoule pas.

Perdre autant d'monde que j'aime en un an c'est cruel.
Surtout quand y'a personne qui arrive à leur hauteur
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[Syl' tu m'manques tu sais? J'veux retourner au primaire... c'était l'bon temps <3 J'veux pouvoir camper dans nos jardin.]
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[Bonbon* Wify PISSENLIT <3]
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    Mais... On peut essayer de vivre autre choses avec ces personnes. Peut-être pas aussi fort, aussi intense et profond [j'vous vois v'nir les esprits mal-tournés] mais bon... je ne peux pas tomber plus bas que je le suis déjà...
    Alors j'essaie. Pour qui j'sais pas... on verra qui voudra encore de moi. Qui aura assez de force pour deux. Parce que moi... je veux bien y croire, mais je n'ai plus la force.

[Bud'² moi j'veux bien que ça soit comme avant. Mais faudra pas baisser les bras si ça prend du temps. DanDoug]
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Mercredi 3 octobre 2007 à 20:59

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J'ai peur. Oui, j'ai peur et je suis triste.
Je n'y arriverais pas. Surmonter toutes ces choses sans aide. Sans avoir une personne sur qui compter. Pourtant, il y en a. Mais c'est comme si j'étais seule. Toujours avec les autres, mais si seul dans le fond.
Je n'y arriverais pas parce que je ne veux pas.
Mal être. Ô oui! Et quel mal être.
Si tu n'es pas sept jours sur sept avec moi alors non. Si tu es mieux avec elle, non. Si c'est comme ça, non.
A chaque fois qu'on s'attache à quelqu'un... c'est juste pour nous faire du mal. Personne ne rentre dans notre vie sans raison. Mais tout le monde ne fait que passer.
J'ai peur, et je suis triste. Je l'avoue... et en même temps, j'y prends gout.
Imcompréhensible état d'esprit.
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Dimanche 30 septembre 2007 à 18:13


"Ca a commencé à me faire mal. Peut-être que c'est la preuve ultime, peut-être que ça ne veut rien dire. Ca peut très bien être une douleur psychosomatique. J'ai passé des heures à examiner la région lésée pour voir si la douleur était réelle ou non, mais c'est très mauvais, ça. Vous saviez que le cancer est le stade terminal de la névrose? J'ai lu ça quelque part. Le corps et l'esprit ne font qu'un. Si vous vous sentez bien, alors vous êtes en pleine forme. Si vous êtes déprimé, vous attrapez des boutons, des grippes, des rhumes, tout ça. Et si vous vous inquiétez trop, ça finit par donner des maladies: crises cardiaques, ulcères - et cancer."

Cela explique nombre de choses...
Oh oui. Beaucoup.

Mercredi 26 septembre 2007 à 19:11

Mais si vous voyez deux chiens qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se mordent et se déchirent, vous dites: "Voilà de sots animaux"; et vous prenez un bâton pour les séparer. Que si l'on vous disait que tous les chats d'un grand pays se sont assemblés par milliers dans une plaine, et qu'après avoir miaulé tout leur soül, ils se sont jetés avec fureur les uns sur les autres, et ont joué ensemble de la dent et de la griffe; que de cette mêlée il est demeuré de part et d'autre neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur, ne diriez-vous pas: "Voilà le plus abominable sabbat dont on ait jamais ouï parler?" Et si les loups en faisaient de même: "Quels hurlements! quelle boucherie!" Et si les uns ou les autres vous disaient qu'ils aiment la gloire, concluriez-vous de ce discours qu'ils la mettent à se trouver à ce beau rendez-vous, à détruire ainsi et à anéantir leur propre espèce? ou après l'avoir conclu, ne ririez-vous pas de tout votre coeur de l'ingénuité de ces pauvres bêtes? Vous avez déjà, en animaux raisonnables, et pour vous distinguer de ceux qui ne se servent que de leurs dents et de leurs ongles, imaginé les lances, les piques, les dards, les sabres et les cimeterres, et à mon gré fort judicieusement; car avec vos seules mains que pouviez-vous vous faire les uns aux autres, que vous arracher les cheveux, vous égratiner au visage, ou tout au plus vous arracher les yeux de la tête? Au lieu que vous voilà munis d'instruments commodes, qui vous servent à vous faire réciproquement de larges plaies d'où peut couler votre sang jusqu'à la dernière goutte, sans que vous puissiez craindre d'en échapper. Mais comme vous devenez d'année à autre plus raisonnables, vous avez bien enchéri sur cette vieille manière de vous exterminer: vous avez de petits globes qui vous tuent tout d'un coup, s'ils peuvent seulement vous atteindre à la tête ou à la poitrine; vous en avez d'autres, plus pesants et plus massifs, qui vous coupent en deux parts ou qui vous éventrent, sans compter ceux qui tombant sur vos toits, enfoncent les planchers, vont du grenier à la cave, en enlèvent les voûtes, et font sauter en l'air, avec vos maisons, vos femmes qui sont en couches, l'enfant et la nourrice:

et c'est encore où gît la gloire ;
elle aime le remue-ménage,
et elle est personne d'un grand fracas.

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